Extraits du culte et PREDICATION du 16 juin 2013 "ECOUTE, j'ai quelque chose à te dire"
ORGUE
SALUTATION
frères , sœurs,
amis la grâce et la paix soient sur nous tous.
Le Seigneur nous
a invité ce matin.
Nous Chantons
notre reconnaissance
...
LOUANGE
Remercier Dieu,
qu'est-ce que c'est ?
C'est d'abord se
réjouir. Ensuite, c’est .
Voir le bon.
Donner. Franchir des étapes. Ne pas se décourager. Être actif. Contempler.
Saisir l’occasion de témoigner.
Alors , louons
remercions, celui qui nous invite d’abord à nous réjouir
REPENTANCE
quelques mots,
adressés à Dieu.
Je ne sais pas.
Je ne peux pas.
Je ne veux pas.
Je n'y crois pas.
Je n'y vais pas.
Je n'entends rien
Je ne vois rien.
Je ne sens rien.
Je ne dis rien.
Je ne fais rien,
de bien.
Seigneur, redonne
du souffle à ceux et celles qui le perdent, et la confiance. AMEN
...
ANNONCE DU
PARDON
Le Seigneur, qui
nous a accueillis pour ce moment, renouvelle pour nous l'annonce de son pardon.
Il allège notre dette. Nous en libère. Levons-nous et chantons notre
reconnaissance.
Sp
EXHORTATION
Ex-Hortation. C'est le temps de
l'ex-hortation.
une
adresse ou une communication pressant d'une façon catégorique quelqu'un à faire
quelque chose.
Ou le moment du culte où nous sommes
appelés à entendre la volonté de Dieu, pour nous.
Voici une exhortation, retirée du livre
du prophète Esaïe au chapitre 50.
Le Seigneur DIEU m’a donné le
langage des disciples,pour que je sache soutenir par une parole celui qui
est épuisé ; chaque matin, il éveille, il éveille mon
oreille, pour que j’écoute à la manière des disciples. 5Le Seigneur
DIEU m’a ouvert l’oreille,et moi, je ne me suis pas rebellé et je ne me
suis pas dérobé
Sp.
ILLUMINATION
Seigneur,
Tu nous as invité
chez toi, pour vivre, un moment, avec toi.
Dis-nous ce que
tu as nous dire.
Nous t'en
remercions.
AMEN
LECTURE LUC 7
36Un des pharisiens l'invita à manger avec lui. Il entra donc chez
le pharisien et s'installa à table. 37Or
une femme, une pécheresse de la ville, sut qu'il était à table chez le
pharisien ; elle apporta un flacon d'albâtre plein de parfum 38et se tint derrière lui, à ses pieds.
Elle pleurait et se mit à mouiller de ses larmes les pieds de Jésus ; elle
les essuyait avec ses cheveux, les embrassait et répandait sur eux du
parfum. 39En voyant cela, le
pharisien qui l'avait invité se dit : Si cet homme était prophète, il
saurait qui est la femme qui le touche et ce qu'elle est : une pécheresse.
40Jésus lui dit : Simon, j'ai quelque
chose à te dire. — Maître, parle, répondit-il. 41— Un créancier avait deux débiteurs ; l'un devait cinq cents
deniers et l'autre cinquante. 42Comme
ils n'avaient pas de quoi le rembourser, il leur fit grâce à tous les deux.
Lequel des deux l'aimera le plus ? 43Simon répondit : Je suppose que c'est celui à qui il a fait
grâce de la plus grosse somme. Il lui dit : Tu as bien jugé. 44Puis il se tourna vers la femme et
dit à Simon : Tu vois cette femme ? Je suis entré chez toi, et tu ne
m'as pas donné d'eau pour mes pieds ; mais elle, elle a mouillé mes pieds
de ses larmes et les a essuyés avec ses cheveux. 45Tu ne m'as pas donné de baiser, mais elle, depuis que je suis
entré, elle n'a pas cessé de m'embrasser les pieds. 46Tu n'as pas répandu d'huile sur ma tête ; mais elle, elle a
répandu du parfum sur mes pieds. 47C'est
pourquoi, je te le dis, ses nombreux péchés sont pardonnés, puisqu'elle a
beaucoup aimé. Mais celui à qui l'on pardonne peu aime peu.48Et il dit à la femme : Tes péchés sont pardonnés.
49Ceux qui étaient à table avec lui
commencèrent à se dire : Qui est-il, celui-ci, qui va jusqu'à pardonner
les péchés ?50Mais il dit à la
femme : Ta foi t'a sauvée ; va en paix.
CHANT 509
strophes 1,2,3 Viens Saint Esprit
PRÉDICATION
SIMON, j'ai quelque chose à te dire.
Simon, c'est
comme ça que s'appelle le pharisien qui avait invité Jésus.
Avant, nous lecteurs,
nous ne le savions pas, qu’il s’appelait « Simon ».
C'était un pharisien comme n'importe quel
pharisien. Il avait invité Jésus à manger. Pourquoi l'a t il invité ? On ne sait
pas.
Quand vous
invitez quelqu'un à manger, vous demandez vous pourquoi, pourquoi vous
l'invitez ?
Alors pourquoi,
semble-t-il, que le prédicateur sur ce
texte, soit toujours sommé d'y répondre !
Pourquoi le
pharisien invite-t-il Jésus ? Bon, allez.
Sans doute pour
le même ensemble complexe de raisons qui font que vous invitez un personnage
public que vous ne connaissez pas trop. Parce qu'il le faut. Mais aussi, Pour le connaître, pour
l'évaluer, pour recevoir quelque chose de lui, pour lui dire quelque chose,
pour l'épater, pour l’intégrer dans votre groupe, afin qu'il ne devienne pas
votre ennemi, pour négocier, pour parler d'un problème qui concerne un tiers,
pour lui proposer une alliance, pour qu'il fasse quelque chose pour vous...
Bon, tout cela reste
très social. Très fonctionnel. Jésus est un personnage populaire. Les
pharisiens sont respectés aussi.
Nous ne sommes
pas là pour nous dévoiler, raconter nos vies, mais pour vivre un agréable
moment où nos fonctions sociales respectives vont se frotter et s'accorder.
Mais voilà, tout
à coup,
SIMON j'ai
quelque chose à te dire.
"
Manuel" * (allusion aux cérémonies inaugurales
de l’Epudf à Lyon en présence du ministre de l’intérieur)
Déjà tu n'es plus
un pharisien, et je te le dis "le sortilège social", est rompu. Quel sortilège ? Ce sortilège qui consiste à ce que si chacun marmonne à l’intérieur de lui-même plein de choses, comme le fait Simon au moment où Jésus
interrompt ses pensées, et comme le font les invités aussi à la fin du récit,
extérieurement, rien n'y parait. Toutes les phrases sont codées. Tout doit
rouler. C'est le sortilège de la socialité et de sa liturgie. Ceux qui le
rompent en général ne sont plus invités.
J'ai quelque
chose à te dire SIMON, Simon, prénom hébraïque évidemment renvoie à
l'exhortation d'ECOUTER. ECOUTE Simon au lieu de marmonner intérieurement.
C'est à dire réponds à l'invitation de sortir de toi-même, sors de ta liturgie.
Comme une prédication, dans un culte, dénote, par rapport au reste de la
liturgie.
Tout ça à cause
de cette femme "cette femme pécheresse dans la ville" dit le récit.
Donc une femme bien connue, bien renommée. Le genre de personne que tout le
monde connait mais que tout le monde prétend ne pas connaitre. Oui, oui, une
prostituée dans la ville. Une fonction. Comme celle de pharisien, avant que ce
Pharisien prenne un nom: SIMON.
Une fonction,
comme celle de prophète itinérant qu'avait ce Jésus de Nazareth, avant que
cette femme, justement, cette femme là, qui surgit COMME UN ANGE, au milieu
d'un attroupement social, lui donne plus qu'un NOM, lui donne le SENS de sa mission, lui exprime non seulement toute la gratitude
dont elle est capable, mais qu'aussi dans cette RECONNAISSANCE , elle le distingue, le révèle dans sa mission
particulière. Voyez, invités au repas, comme elle le BAPTISE de ses larmes,
comme ELLE L'ACCUEILLE en lui embrassant les pieds, comme ELLE LE PARFUME avec
un parfum dont d'autres textes disent qu'il est très très cher. Et même
certains vont râler.
Et avec ce
parfum, elle dit aussi, PUBLIQUEMENT, car c'est une femme PUBLIQUE, elle dit
qu'il va mourir, oui. Oui elle l'embaume, déjà, symboliquement.
Oui, cette femme
qui SURGIT comme un ange surgit dans la BIBLE reconnait Jésus, révèle ce qui fait de lui plus qu'un prophète
normal, mais sans doute, le Christ de Dieu, le Messie du Peuple attendu. Elle
distingue Jésus et c'est comme si elle lui transmettait quelque chose que Jésus
à ce moment là n'avait pas encore. Une liberté plus grande, pour par exemple
dire à son hôte SIMON, écoute.
Voilà tu ne m'as
pas accueilli, tu n'as pas été reconnaissant, tu as jugé cette femme, tu m'as
jugé, tu t'es perdu dans tes pensées,. Finalement tu as été PINGRE, cet abomination non officielle et
pourtant bien synthétique de beaucoup de péchés bibliques: oui, avare, renfermé
sur toi même
Contrairement à
elle, dont tu n'as pas su voir, le côté prophétique, profus et généreux.
Angélique.
Ecoute, j'ai
quelque chose à te dire.
Qu'importe
finalement ce que lui dit Jésus, car il le dit à Simon, pas à nous, nous, avons
besoin d'entendre simplement "ECOUTE, j'ai quelque chose à te dire"
à moi, donc, pas
à un pharisien dans un texte datant de 2000 ans, fort beau néanmoins.
Cette femme qui a
su que Jésus était là, qui a reconnu Jésus, qui lui a conféré une dignité et
une mission qui s'exprimera bien autrement que par des dîners en ville, cette femme qui a tout donné, et qui tout
révélé, reçoit à la fin du récit ce qu'elle attendait aussi. D'être reconnue,
aussi. De sortir de sa boucle fonctionnelle. Prostituée, fonction qui était
moins un tabou qu'aujourd'hui, mais fonction quand même. C'est mieux d'être une
personne, plutôt qu'une fonction. Tes péchés sont pardonnés. Ta dette est
allégée. Va en paix.
Le récit indique
bien que la reconnaissance de Jésus par cette femme, rejoint la reconnaissance de cette femme par Jésus. En ce sens là tout finit bien.
Mais si le
pharisien lui aussi, est reconnu, le récit le laisse en suspens, comme si
c'était nous, mais oui, en fait, Simon, c'est nous.
Et que tout n'a
pas encore été dit, entendu.
Ecoute, j'ai
quelque chose à te dire.
AMEN
ORGUE
(Lecteur Bruno Martin)
CONFESSION
DE FOI (du rabbin Gabriel Hagaï)
Une pasteure protestante m'a demandé : "Qui est
Dieu pour toi ?", en préparation à une intervention dans sa paroisse.
Voici ma réponse :
Qui est Dieu pour moi ?
Dieu est l’Un, l’Unique.
Il est le Tout-Existant, le Tout-Étant.
Tout n’est qu’en Dieu, mais Il est plus que tout.
Il n’y a rien hors de Lui, le Tout-Englobant, le Tout-Transcendant.
Il est le Tout-Éternel, l’Absolu-Premier et l’Absolu-Dernier.
Il est le Tout-Absolu, le Tout-Infini et le Tout-Présent.
Il est le Tout-Puissant, le Tout-Savant et le Tout-Connaissant.
Il est la Conscience de toute conscience, la Réalité de toute réalité, l’Existence de toute existence, la Cause de toute cause, la Volonté de toute volonté, le Créateur de toute création.
Il est le Tout-Bon, le Tout-Beau, le Tout-Parfait.
Il est le Tout-Aimant, le Tout-Clément, le Tout-Miséricordieux.
Il est l’Octroyeur de libre arbitre à l’Humanité, le Tout-Humble, le Tout-Caché.
Il est le Dieu d’Abraham (Avrâhâm), le Dieu d’Isaac (Yiṣḥâq) et le Dieu de Jacob (Ya‘aqov), auxquels Il S’est dévoilé.
Il est le Dieu dont le Saint Nom est en hébreu YHWH.
Il est le Dieu qui a délivré le Peuple des Enfants d’Israël de leur esclavage en Égypte, et qui S’est révélé à ceux-ci à la Mer Rouge (Yam-Sûf) et au Mont Sinaï (Har-Sînây).
Il est le Dieu de Moïse (Môshè) à qui Il a donné la Tôra.
Il est le Dieu qui instruit Ses créatures en accordant le Don Prophétique à certains êtres humains qu’Il choisit.
Il est le Dieu des Prophètes du Peuple des Enfants d’Israël.
Il est le Dieu des innombrables Prophètes de toutes les Nations, tels que Zaraϑuštra, Lǎozǐ, Gautama Buddha, Vardhamâna Mahâvîra, Mânî, Muḥammad, Chaitanya Mahâprabhu, Gurû Nânak, Swâmînârâyan, et Bahâ’ullâh, pour ne citer que les plus connus.
Il est Elôhîm, Il est Allâh, Il est Bhagavân, Il est Khodâ, Îshvar, et Bog, Il est Θeós, Shàngdì, et Ik-Ônkâr, Il est Nzámbe, Olòrún, et Mungu, Il est Wiraqucha, uMvelinqangi, et tous les Noms qui Lui sont donnés.
Il est Celui dont le Sceau est Vérité, dont la Droite est Justice, dont la Présence est Paix, le Très-Exalté, le Très-Haut.
Il est Celui qui guide l’Humanité, le Tout-Provident.
Il est la Présence qui habite notre cœur, le Tout-Proche.
Il est la Lumière qui déchire l’obscurité de notre cœur, le Tout-Lumineux.
Il est Celui qui S’aime à travers l’Amour de Ses créatures.
Il est Celui qui Se loue à travers les Louanges de Ses créatures.
Il est le Spectateur émerveillé de Son propre Jeu Divin à travers Sa Création.
Il est le Tout-Gouvernant, notre Roi dont nous acceptons le Joug.
Il est le Tout-Doux, notre Père/Mère sur Lequel/Laquelle se reporte notre Dévotion.
Il est l’Objet de notre Amour et le Sujet de nos Louanges.
Il est Celui vers Lequel nous aspirons, en Lequel nous espérons.
Il est l’Un unissant l’Amant, l’Amour et l’Aimé.
Il est l’Un unissant Lui-Même, Sa Révélation et Sa Création.
Il est notre Nature Ultime, car créés à Son Image selon Sa Ressemblance (beṣalmô kidmûtô).
Il n’est pas plus “Il” que “Elle”, car Il transcende toute dualité.
Et si nous avions tous les mots du Monde et l’Éternité pour les dire, cela ne suffirait pas à qualifier Dieu, le Très-Unique, l’Absolu-Un.
Dieu est l’Un, l’Unique.
Il est le Tout-Existant, le Tout-Étant.
Tout n’est qu’en Dieu, mais Il est plus que tout.
Il n’y a rien hors de Lui, le Tout-Englobant, le Tout-Transcendant.
Il est le Tout-Éternel, l’Absolu-Premier et l’Absolu-Dernier.
Il est le Tout-Absolu, le Tout-Infini et le Tout-Présent.
Il est le Tout-Puissant, le Tout-Savant et le Tout-Connaissant.
Il est la Conscience de toute conscience, la Réalité de toute réalité, l’Existence de toute existence, la Cause de toute cause, la Volonté de toute volonté, le Créateur de toute création.
Il est le Tout-Bon, le Tout-Beau, le Tout-Parfait.
Il est le Tout-Aimant, le Tout-Clément, le Tout-Miséricordieux.
Il est l’Octroyeur de libre arbitre à l’Humanité, le Tout-Humble, le Tout-Caché.
Il est le Dieu d’Abraham (Avrâhâm), le Dieu d’Isaac (Yiṣḥâq) et le Dieu de Jacob (Ya‘aqov), auxquels Il S’est dévoilé.
Il est le Dieu dont le Saint Nom est en hébreu YHWH.
Il est le Dieu qui a délivré le Peuple des Enfants d’Israël de leur esclavage en Égypte, et qui S’est révélé à ceux-ci à la Mer Rouge (Yam-Sûf) et au Mont Sinaï (Har-Sînây).
Il est le Dieu de Moïse (Môshè) à qui Il a donné la Tôra.
Il est le Dieu qui instruit Ses créatures en accordant le Don Prophétique à certains êtres humains qu’Il choisit.
Il est le Dieu des Prophètes du Peuple des Enfants d’Israël.
Il est le Dieu des innombrables Prophètes de toutes les Nations, tels que Zaraϑuštra, Lǎozǐ, Gautama Buddha, Vardhamâna Mahâvîra, Mânî, Muḥammad, Chaitanya Mahâprabhu, Gurû Nânak, Swâmînârâyan, et Bahâ’ullâh, pour ne citer que les plus connus.
Il est Elôhîm, Il est Allâh, Il est Bhagavân, Il est Khodâ, Îshvar, et Bog, Il est Θeós, Shàngdì, et Ik-Ônkâr, Il est Nzámbe, Olòrún, et Mungu, Il est Wiraqucha, uMvelinqangi, et tous les Noms qui Lui sont donnés.
Il est Celui dont le Sceau est Vérité, dont la Droite est Justice, dont la Présence est Paix, le Très-Exalté, le Très-Haut.
Il est Celui qui guide l’Humanité, le Tout-Provident.
Il est la Présence qui habite notre cœur, le Tout-Proche.
Il est la Lumière qui déchire l’obscurité de notre cœur, le Tout-Lumineux.
Il est Celui qui S’aime à travers l’Amour de Ses créatures.
Il est Celui qui Se loue à travers les Louanges de Ses créatures.
Il est le Spectateur émerveillé de Son propre Jeu Divin à travers Sa Création.
Il est le Tout-Gouvernant, notre Roi dont nous acceptons le Joug.
Il est le Tout-Doux, notre Père/Mère sur Lequel/Laquelle se reporte notre Dévotion.
Il est l’Objet de notre Amour et le Sujet de nos Louanges.
Il est Celui vers Lequel nous aspirons, en Lequel nous espérons.
Il est l’Un unissant l’Amant, l’Amour et l’Aimé.
Il est l’Un unissant Lui-Même, Sa Révélation et Sa Création.
Il est notre Nature Ultime, car créés à Son Image selon Sa Ressemblance (beṣalmô kidmûtô).
Il n’est pas plus “Il” que “Elle”, car Il transcende toute dualité.
Et si nous avions tous les mots du Monde et l’Éternité pour les dire, cela ne suffirait pas à qualifier Dieu, le Très-Unique, l’Absolu-Un.
CHANT 269 Chante chante peuple joyeux Toi qui aimes ton
Dieu
(...)
PRIÈRE D'INTERCESSION
Dieu
d’Abraham, Dieu de la promesse, donne-nous d’être les témoins de ta fidélité
que le monde attend.
Dieu de
Jacob, Dieu du combat, donne-nous de lutter contre le mal, l’injustice et la
souffrance.
Dieu de
Moïse, Dieu de la délivrance, donne-nous de libérer les prisonniers du doute,
du désespoir et de la peur.
Dieu de
David, Dieu des louanges, donne-nous de répandre la joie de te connaître.
Dieu
d’Elie, Dieu de la faim rassasiée, donne-nous de partager notre pain avec
celles et ceux qui ont faim.
Dieu de Jésus-Christ, Dieu d’amour, donne-nous,
en tous temps et en tous lieux, d’être comme les échos de ta parole qui
accueille, console et donne la paix.
Commentaires
Enregistrer un commentaire